BIENVENUE SUR MON BLOG !

Merci de laisser une petite trace de votre passage... un tout petit commentaire... !
Voici comment procéder car c'est vrai, c'est un peu compliqué sur blogspot !

1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante Commentaire
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien S'abonner par e-mail, être assuré d'être avisé en cas d'une réponse
4) Cliquer sur Publier enfin.

dimanche 16 octobre 2016

"CRISE DE PANIQUE" de Jason STARR...


J'ai terminé un polar de Jason STARR, auteur d'une dizaine de thrillers, récompensé par le "Barry Award" et l'"Anthony Award" qui font de lui un auteur majeur du roman noir aux Etats Unis.


Le polar en question s'intitule "CRISE DE PANIQUE", écrit en 2009 (version Française 2011).



Le résumé :
"Une nuit, un psychologue alerté par sa fille qui a entendu du bruit au rez de chaussée de leur maison, pris de panique, tire sur un des cambrioleurs qui se sont introduits chez eux.
A partir de ce moment là, toute la vie de cette famille va basculer dans l'horreur. Adam Bloom, le psy, va être accusé par les médias de s'être fait justice, sa femme et sa fille lui en veulent également.
Sa fille, va rencontrer un étrange garçon qui n'est pas celui qu'il dit être ... et semble avoir des comptes à régler avec la famille Bloom...".

"... l'auteur dresse à travers la famille Bloom un portrait au vitriol d'une Amérique bien pensante, hyper individualiste, obnubilée par son bien être et son image". 
(Critique sur le site "Babelio") 

On pourrait plaindre Bloom et sa famille avec l'avalanche d'évènements horribles qui leur arrive en l'espace de quelques semaines, mais ils sont tellement antipathiques, les uns et les autres, que finalement, même si l'assassin est un psychopathe dénué de tout scrupule, on n'arrive pas vraiment à les plaindre.
L'auteur en a fait des caricatures de petits bourgeois égoïstes, hypocrites. Très bien écrit, on est tenu  en haleine jusqu'à la fin.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire