Une fois n'est pas coutume, je viens de terminer la lecture d'un très bon polar Suisse :
"La vérité sur l'affaire Harry Quebert"
de Joël DICKER.
Joël DICKER : jeune romancier né en 1985 à Genève a reçu en 2012 le Grand Prix de l'Académie Française pour "La vérité sur l'affaire Harrry Quebert" ainsi que le Goncourt des lycéens.
L'histoire : "1975 New Hampshire : une adolescente de 15 ans disparaît sans laisser de trace.
33 ans plus tard, le grand écrivain Harry Quebert est accusé du meurtre lorsqu'on découvre le cadavre de la jeune fille dans son jardin. Aussitôt, Marcus, un jeune écrivain en mal d'inspiration plaque le roman qu'il doit rendre à son éditeur pour venir en aide à Harry qui a été son mentor et son ami".
J'ai lu ce roman de de 850 pages en quelques jours, impossible de le lâcher. Du début à la fin, des rebondissements, des personnages attachants et troublants...
"Environ une demi-seconde après avoir terminé votre livre, après en avoir lu le dernier mot, le lecteur doit se sentir envahi d’un sentiment puissant; pendant un instant, il ne doit plus penser qu’à tout ce qu’il vient de lire, regarder la couverture et sourire avec une pointe de tristesse parce que tous les personnages vont lui manquer...".
C'est une phrase que dit Harry Quebert le "vieux" romancier à son disciple Marcus. Et c'est effectivement ce que ressent tout lecteur je crois à la fin d'un bon roman...
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